Brooke L. O'Klein
Messages : 16 Date d'inscription : 26/06/2012
| Sujet: ¶. « La musique commence là où s'arrête le pouvoir des mots. » - 【10%】 Mar 26 Juin - 15:37 | |
| Fiche d'identité
| - Nom : O'Klein.
- Prénom : Brooke Lux.
- Surnom : A vous de lui en donner.
- Age : 16 ans.
- Sexe : Féminin.
- Attirance sexuelle : Bisexuelle.. Sûrement.
- Taille : Un mètre soixante-cinq.
- Famille : Véritables parents et une soeur adoptive.
- Nationalité : Anglaise.
- Signes particuliers : A faire. ~
- Groupe (élève ou professeur ?) : Elève.
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Brooke, c’est cette jeune demoiselle que vous pouvez observer au loin, assise sur le rebord d’un toit quelconque, ses jambes se balançant en un rythme régulier dans le vide, les yeux fermés et fredonnant un air accompagnant le silence de la ville endormie, ses cheveux virevoltant au gré de la douce brise du soir qui vient caresser doucement le visage de celle-ci et où est présent un sourire serein embellissant de plus belle son visage de poupée en porcelaine. Brooke, c’est cette jeune fille emplie de grâce, peut importe ce qu’elle puisse faire ou ce qu’elle puisse dire. Ses gestes sont gracieux et élégants, donnant la subtile impression qu’elle est sans cesse en train de danser, ses mouvements étant précis, calculés, délicats. Sa voix quant à elle, est aussi douce que le chant des oiseaux au petit matin venant avec délicatesse, vous extirper des bras de Morphée. Brooke, c’est cette ravissante poupée en porcelaine, qui semble être si fragile qu’on n’ose la frôler, de peur de la briser par un seul petit mouvement brusque et maladroit.
Un bruit léger se fait entendre de votre part. Elle tourne alors, d’une manière posée, la tête en vôtre direction, et de ses yeux d’un bleu profond et envoûtant, elle s’arrête à toute activité et vous observe. Son regard est perçant, mais d’une douceur infinie à la fois. Vous commencez même à retenir votre souffle, sans que vous ne sachiez réellement pourquoi. Ce regard vous déstabilise et tentez de disperser le vôtre, la parcourant de haut en bas, de votre regard, curieux. Sa longue chevelure d’un rose pâle, virevoltant toujours dans les airs, vous semble tellement irréelle que vous venez à vous demander si ce n’est tout simplement pas un rêve. Vous vous pincez alors. Aie. Ca fait mal. C’était un réflexe stupide. Alors que vous l’observez, des mèches viennent se déposer sur le visage de la jeune demoiselle, lui chatouillant son nez fin, et d’un léger mouvement de tête, elle les chasse. Sa peau est aussi blanche que la neige tombant à flocons un soir de décembre, aussi douce que de la soie et sans aucune impureté. Elle se lève et s’avance lentement vers vous, légèrement curieuse aussi. Au moins vous n’êtes pas le seul. Votre regard, toujours posé sur elle, vous la contemplez dans sa gracieuse démarche. Elle fit un petit saut pour descendre la marche et se rapprocher encore plus de vous. Elle a l’air si légère, tellement mince, tellement belle, tellement gracieuse, on dirait tout simplement un ange. Vous commencez même à voir des ailes apparaître derrière son dos, et le fait qu’elle porte une simple robe blanche mais qui a pourtant l’air ravissante sur elle, ne vous aide pas dans votre hallucination. De son poids de plume, elle s’avance encore et encore. Respirez, vous allez mourir. Elle s’avance, s’avance, s’avance.. Et de sa voix d’ange, elle vous demande enfin :
« Qui êtes-vous ? »
Vous vous êtes enfui. Lâche. Quelques jours plus tard, vous la reconnaissez dans un magasine. Vous n'en croyez pas vos yeux, c'était IA des Vocaloid. Vous vous sentez bête sur le coup de ne pas l'avoir reconnue plus tôt. Vous vous donnez une tape sur le front. Aie. Ça fait mal. Vous vous secouez la tête et vous regardez plus attentivement le magazine. Il y a des photos, pleins de photos. Des shooting, sûrement. Vous tournez la page, après avoir bien détaillé ces photos. C'est un interview, cette fois-ci. Vous parcourez de vos yeux fainéants la double-page, pas très motivé de tout lire.
« ... Et votre style vestimentaire, IA ? - Je porte de tout. Normal, pour un mannequin allez-vous me dire. :rires: Disons que je porte surtout des choses simples, je ne suis pas une très grande fan des longues robes à froufrous. La plupart du temps, je préfère rester dans la simplicité et ainsi donc, porter des t-shirts et des jeans très basiques. Mais honnêtement.. J'adore beaucoup le style 'Rock N' Roll', j'ai toujours été très attirée par cela. Mais je doute que cela m'aille vraiment. Mais j'essayerai un jour et je vous ... »
Cela vous suffit. Vous arrêtez de lire et soupirez, lançant le magazine sur votre lit. La mode, c'est pas votre truc.
| Vous vous ennuyez et vous n’avez pas vraiment envie de vous plonger dans ce DM de mathématiques aussi ennuyant que son professeur. Vous prenez alors la décision de vous changer les idées et de faire autre chose. Vous sortez alors de votre chambre, pour vous diriger vers le salon. Arrivé, vous remarquez pour votre plus grand désarroi que votre sœur a décidé que le canapé serait pour elle et ça, pour toute l’après-midi. Vous jetez un léger coup d’œil à ce qu’elle regarde. Un reportage sur IA. Décidément.. Engager une bataille avec elle serait mal avisé de votre part, sachant que votre mère est juste à côté en train de cuisiner. Vous soupirez et vous vous installez sur une chaise, décidant de regarder l’émission avec elle. D’après le peu que vous ayez vu, c’est un reportage ayant pour but d’interroger plusieurs personnes sur ce qu’ils pensent d’IA.
Un inconnu accosté dans la rue. « IA ? Ah, la fille faisant partie des Vocaloid ! Je l’aime beaucoup, elle chante très bien et elle est très belle. Elle a l’air d’un ange dans presque toutes ses performances, qui sont d’ailleurs géniales. J’ai pu assister à un de ses concerts et elle a l’air très chaleureuse, comme fille. Je suis sûre que cette petite va aller loin ! »
Ancien professeur de Français. « IA ? Qui est IA … ? Ah, vous voulez dire Brooke O’Klein ? C’était une élève formidable ! Toujours sérieuse et régulière dans son travail, c’était une très bonne élève. Responsable, elle fut élit Déléguée de Classe avec presque tout les votes de ses camarades. Très aimable, elle n’hésitait pas à aider quelqu’un dans le besoin. C’était une brave petite. »
Camarade de classe A. « Gna ? IA ? Brooke ?! JE LA HAIS ! MON PETIT-AMI M’A PLAQUE PARCE QU’IL EST TOMBE AMOUREUX D’ELLE, JE LA HAIS ! JE LA DETESTE ! JE VOUS DETESTE ! DEGAGEZ DE MON CHEMIN ! »
Camarade de classe B. « Brooke hein.. Une bonne camarade de classe, bien qu’elle semblait un peu réservée. Elle avait cette part de mystère en elle, et cette légère aura qui faisait qu’elle était un peu inapprochable. Elle ne souriait pas tellement, elle était toujours dans les vapes et trainait souvent avec sa sœur. Pourtant, elle était assez populaire mais des amis, elle en avait sûrement très peu. »
Un paparazzi.
« IA ? Cette fille ?! Une véritable furie ! Elle a détruit mes deux appareils photos chéris, alors que je ne faisais que passer par-là, pour euh.. Acheter une glace. Vous auriez dû voir avec quelle force elle m’a poussée contre le grillage, et avec laquelle elle a… mes deux appareils photos… Elle me le payera ! »
Sa mère.
« Brooke hein.. Elle a bien grandit depuis. Je la vois encore me sourire, de son petit visage enfantin, tenant dans sa main, une fleur qu’elle me tend.. Ahhh.. Les enfants grandissent trop vite, de nos jours. (rires) Depuis toute petite, elle adorait chanter. Elle allait même jusqu’à chanter dans la salle de bain, pendant sa douche, et maintenant, elle en fait son métier. Je suis très fière d’elle, ainsi que de sa sœur. Bien qu’elles doivent me détester depuis que.. (tousse) Je ne dirais rien de plus à son sujet. En tout cas, Brooke ou Elsaria, si vous regardez cette émission, maman vous embrasse très fort et pense à vous ! »
L’émission est finie. Vous repensez à l’interview de sa mère qui semblait légèrement mal à l’aise après avoir dit que ses filles semblaient la détester.. Mais vous ne vous prenez pas la tête. Sûrement des problèmes familiaux ou quelque chose dans le genre, qui ne vous concerne absolument pas. Vous vous étirez et vous vous levez de votre chaise, prenant maintenant d’assaut le canapé, votre sœur étant partie. Vous zappez un peu les chaînes jusqu’à que vous tombiez sur le dernier épisode d’un anime qui vous passionne. Vous décidez alors de le regarder. Car cet anime, il roxxe.
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« On m’a toujours dit qu’un journal intime, c’était l’idéal pour étaler ses sentiments sur papier et se libérer de quelques poids, quelques fardeaux qu’on porte et dont on ne peut se détacher malgré nos efforts. Se confier à quelqu’un. Mais un journal intime, ce n’est pas un quelqu’un, c’est un quelque chose. C’est étrange, vraiment étrange. Quelle idée stupide de se confier à quelque chose, et non à quelqu’un. Mais si je me confie à quelqu’un, la chose que je confierai, ne sera-t-elle pas mal vue par ce quelqu’un ? Ce quelqu’un commencerait-il à me détester, et à me trouver dégoûtante, répugnante ? Ce quelqu’un ne commencerait-il pas à m’éviter ? A me lancer des regards emplis de dégoût ? Pourquoi elle ? Pourquoi moi ? Pourquoi ce sentiment ? Pourquoi tout simplement l’amour ? Pourquoi est-il venu se mêler de cette relation, à la base si innocente et complètement dénuée de choses douteuses, détournant mes sentiments que je portais et que je porte toujours à son égard, pour la transformer en cette relation si impure, si ambiguë qu’il m’est maintenant, pratiquement impossible de la regarder sans qu’une douleur atroce vienne me torturer le cœur, en même temps que la beauté de son visage me souriant vienne légèrement l’apaiser ? Pourquoi ? C’est tellement cruel de sa part. L’amour est cruel et injuste. Elle est toujours à mes côtés, me souriant, me parlant avec sa voix si douce, se collant à moi, me faisant entendre son rire cristallin et pourtant, je n’ai pas le droit de l’aimer. Pas comme je le fais. Je suis interdite à ce sentiment que j’éprouve pour elle. Je ne sais même plus quand tout cela a commencé … Début sixième ? Ou l’aimais-je de façon impure déjà bien avant notre entrée au collège ? Mon dieu. Bon sang. Bordel. Putain. Mes sentiments étaient-ils déjà souillés ? Mes pensées étaient-elle déjà immorales ? Etais-je déjà aussi écœurante ? Je ne sais pas. Je ne sais rien.. Je ne sais plus. Je n’ai pas envie de savoir. Je ne m’en suis rendue compte qu’à mon entrée en sixième, au collège. Dans cette salle de classe vide, où elle avait commencé à se changer car nous étions en retard pour le cours d’EPS et que ses affaires avaient été oubliées dans cette salle de classe. Sa chemise avait été retirée, seul son soutien-gorge était resté présent. Et sans que je ne m’en aperçoive vraiment, mon pouls s’était accéléré quand elle se tourna vers moi, me demandant de lui passer son t-shirt de sport. Alors la main tremblante, les joues cramoisies, le regard tourné vers le bas, je lui tendis faiblement son t-shirt. Je me rappelle très bien être sortie de la pièce ensuite, pour ne plus être tentée de faire … Certaines choses. Car les pensées que j’avais étaient tellement … Sales, sur le moment. Mais j’imagine qu’elle ne remarqua rien et j’ai envie de dire : Tant mieux. Je n’aurais pas supporté qu’elle commence à me regarder avec cet air de dégoût, avec ces yeux emplis de méfiance et de colère à mon égard, évitant tout contact avec moi.. non. Je n’aurais pu le supporter. Le fait que je me lamente sur mon sort et que je me plaigne à un journal intime est tellement pathétique. Je m’étonne moi-même. Mais à qui je pourrais bien confier ça, hein ? A une personne ? Pour qu’ensuite, elle le dévoile à tout le monde, et que je sois pointée du doigt, pour qu’on chuchote derrière mon dos, qu’on créée des rumeurs à mon sujet mais que surtout, elle fasse comme les autres et commence à m’éviter ? A ruiner ma carrière, aussi ? Oui, car j’en ai une. Je suis chanteuse dans un groupe nommé Vocaloid, et mon pseudonyme est IA. IA car je n’ai pas trouvé plus original. IA car l’inspiration manquait. IA car, I Am. IA car … Voilà. Je n’ai pas trouvé mieux puis, de toute façon, je n’ai jamais été douée pour trouver des noms. Mais avant de tout de suite passer à mon année de quatrième, année où je suis entrée dans ce fameux groupe, Vocaloid, parlons un peu de ma cinquième. Car il s’en est passé, des choses. Bien moins que cette fameuse quatrième mais, il est tout de même important d’en parler. Du moins, je trouve qu’il en est important d’en parler. Après, vous pouvez sauter cette partie. Vous ? Ah, parce que je compte le faire lire à quelqu’un ? Non. Pas vous. Je ne m’adresse à personne. Je ne fais que confier ce que j’ai sur le cœur à quelque chose. Donc, non. Pas vous. Rien. Bref. Ma cinquième. Je m’en souviens parfaitement. De toute façon, je crois que je me souviendrais toujours de mes années passées au collège. Toujours. A l’instar de la sixième où j’étais dans la même classe qu’elle, où je n’arrêtais pas de traîner avec elle, où je faisais pratiquement tout avec elle.. Elle. Bref, à l’instar de la sixième, la cinquième fut pratiquement l’opposé. Des classes différentes, ce qui suppose bien sûr, un léger éloignement. Un léger. Car on rentrait tout de même ensembles, on se retrouvait à la récréation, on mangeait ensembles.. Un léger. Ma cinquième fût sûrement l’année où je fus le plus jalouse. Des personnes à qui elle parlait, des personnes qui lui parlait, de ses voisins de classe.. De toutes les personnes ayant eu un quelconque contact avec elle. De plus, le fait qu’elle soit presque toujours seule me faisait mal au cœur. Ou peut-être était-ce juste le fait de ne pas pouvoir l’approcher comme avant qui me faisait mal. Il y avait une sorte de … Distance entre nous, malgré notre lien très fort. Il m’arrivait de la repousser parfois, car je ne pouvais supporter ces choses malsaines qui me submergeaient l’esprit. Ces choses qui ne devraient exister. Ces pensées immorales, répugnantes, impures. Ces pensées qu’une sœur ne devrait pas avoir. Ces sentiments qu’elle ne devrait pas ressentir. Un péché.. Un putain de bordel de péché qui me tuait. Qui me rongeait l'esprit, qui me détruisait de l'intérieur. Etait-ce de ma faute, si une sorte de barrière, mince pour l’instant, mais une barrière tout de même s’était forgée, entre nous ? Bien sûr que oui.. Totalement de ma faute. Puis il y a eu cet autre évènement aussi.. Je me rappelle avoir été toute excitée d’aller à cette fête-foraine. Mais ça n’a pas été son cas après avoir découvert qu’on y allait en voiture. J’avais bien remarqué qu’elle avait une singulière phobie envers les … Voitures ? Je ne sais pas si cela existe vraiment. Souvent, la phobie d’une chose est liée à un traumatisme, dit-on. Traumatisée des voitures, elle ? Enfin bref. Au début de son adoption, je remarquais qu’elle frémissait ou sursautait souvent à la vue d’une voiture. Cela s’était atténué au fil du temps, mais je suppose qu’on ne guérit pas une phobie aussi facilement ? Sûrement. Mais le fait qu’elle a pleuré toutes les larmes de son corps à l’aller et au retour de cette fête-foraine, en est une preuve qu’elle n’est toujours pas encore remise, malgré le fait que le temps soit passé. Pourquoi ? J’aurai aimé connaître la raison, sur le moment. Ce moment où, collée contre moi, tellement vulnérable, si faible, si fragile, elle pleurait. Et où, je la consolais, passant doucement mes mains dans ses soyeux cheveux, lui susurrant des mots rassurants, des phrases apaisantes. Ce n’est que le lendemain que je découvris la raison de cet état, dans cette voiture. Et je me sens encore désolée pour son passé aussi.. tragique. Je n’avais pu m’empêcher de la prendre dans mes bras et de la serrer si fort au point de l’étouffer, tellement triste pour elle. Ne pouvant faire que cela, ne trouvant rien à dire d’autre, rien à faire. Il était déjà trop tard, et tout ce que je pouvais faire était de la réconforter. L’aider à avancer, être là pour elle quand elle en avait besoin, oublier, tourner la page. Car … J’étais impuissante, face à sa douleur, sa tristesse, sa souffrance d’avoir perdu ses parents aussi jeune. Alors la seule chose que je pouvais faire, était de la consoler. De lui faire oublier, de la rendre heureuse. Bien plus tard après ce jour-là, je remarquai que mes sentiments s’intensifiaient, à mesure que les jours s’écoulaient, les heures, les minutes, chaque seconde. Chaque putain de seconde, je l’aimais encore plus fort que la précédente. J’étais folle de son rire, de sa voix, de ses yeux, de ses lèvres. J’étais folle d’elle. Elle me rendait dépendante d’elle. Elle était ma drogue. Je ne pouvais supporter d’être séparée d’elle. Elle me manquait. Tout le temps. Toujours. Si près de moi, et pourtant si loin. Pourquoi c’était si compliqué ? Pourquoi est-elle devenue ma sœur ? Pourquoi suis-je tombée amoureuse d’elle ? Pourquoi s’est-on connues ? Pourquoi Dieu s’acharne-t-il ainsi sur moi ? Qu’ai-je dit de mal ? Qu’ai-je fait de mal ? POURQUOI ?
EN COURS. }
- Votre prénom / surnom : Medusa ? Gwendolyn ? Comme vous voulez. ~
- Sexe : Je suis une Alien. ~
- Comment êtes-vous arrivés sur ce forum ? Elyyyyyy'. ♥ (Elsaria.)
- Vos impressions ? SAUCE AU POIVRE ! (Clin d'oeil à How I Met Your Mother pour ceux qui regardent :3).
- Niveau de RP : A vous de juger.
- Personnage sur l'avatar : IA - Vocaloid.
- Autre : Vous saviez que les Azparragots existent ?
- Le code du règlement : Les Azparragots existent, c'est un fait.
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Dernière édition par Brooke L. O'Klein le Sam 14 Juil - 16:40, édité 26 fois | |
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